CHARLOTTE FAHRNER
Attachée à la communication
Si j’étais un livre, je serais… sans hésitation Sorcières, la puissance invaincue des femmes de Mona Chollet.
Si j’étais un film, je serais… Mon voisin Totoro, le chef-d’oeuvre de Hayao Miyazaki.
Si j’étais une chanson, je serais… une chanson ringarde comme Le coup de soleil de Richard Cocciante.
Si j’étais une série, je serais… la série déjantée Broad City.
Si j’étais un tableau, je serais… aussi tragique qu’Ophélie de John Everett Millais.
Si j’étais un artiste célèbre, je serais… la géniale Yayoi Kusama.
Si j’étais une danse, je serais… une danse déroutante : le voguing.
Si j’étais un instrument de musique, je serais… le sousaphone de Rafgee.
Si j’étais une discipline artistique, je serais… la bande-dessinée ou le tatouage.
Si j’étais une destination de voyage, je serais… le Japon, entre tradition et modernité.
Si j’étais un compte Instagram, je serais… Urbanjungleblog
Si j’étais un animal, je serais… aussi joueuse et curieuse qu’une loutre.
Si j’étais un personnage fictif, je serais… un râleur moustachu comme Ron Swanson dans Parks and Recreation.
GUILLAUME CAYET
Dramaturge et auteur en résidence à la Méridienne lors de la saison 2017-2018. En découleront deux pièces écrites in situ au sein d’une classe de quatrième, « Les Deux » et « Les Élémentaires ».
Si j’étais un livre, je serais… Les furtifs de Damasio.
Si j’étais un film, je serais… Les étendues imaginaires de Siew Hua Yeo.
Si j’étais une chanson, je serais… Gangrène d’Ausgang.
Si j’étais une série, je serais… The Wire de David Simon.
Si j’étais un tableau, je serais… Peinture pour Jerôme Laronze de Suzanne Hursky.
Si j’étais un artiste célèbre, je serais… mon grand-père.
Si j’étais une danse, je serais… Les Indes Galantes de Clément Cogitore.
Si j’étais un instrument de musique, je serais… un vieux disque rayé.
Si j’étais une discipline artistique, je serais… peintre en bâtiment.
Si j’étais un personnage fictif, je serais… toujours mort et toujours vivant.
Vous avez loupé les premiers portraits chinois ?
Découvrez ceux :
– d’Adrien et Noémi,
– de Fabien et Sébastien.